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04/12/15

Bienvenue aux nouveaux partenaires de RESIRISK !

L’une des clé de la réussite de RESIRISK réside dans la mise en place de partenariats entre des acteurs clés de la prévention des risques industriels majeurs et du développement économique. 

L’année 2015 a permis d’accueillir de nouveaux partenaires :
> sur le plan technique avec l’INERIS, SOCOTEC. Leurs compétences permettent notamment d’identifier les bonnes préconisations en matière de diagnostics à réaliser sur des bâtiments d’activités,
> sur le plan des risques professionnels avec la participation de l’agence EDEL et de POLYPHASE, de la CFDT qui permettent d’être à l’écoute des besoins des entreprises et des salariés et de répondre aux questions réglementaires. 

partenairesDe nouveaux partenariats financiers se mettent en place.
Le projet est soutenu par l’Union des Industries Chimique, la Caisse des dépôts et consignations très intéressés par la démarche de benchmark  et la partie « innovation » du projet. Enfin, 3 nouvelles collectivités territoriales s’impliquent en tant que sites pilotes : la communauté de communes de la Vallée du Garon, la communauté urbaine d’Arras et le conseil régional Rhône-Alpes. L’année 2016 devrait voir arriver de nouveaux partenaires, notamment du secteur économique. 

 


28/11/15

Site pilote Neuville-Genay

Une séance de travail parmi d’autres dans le cadre de RESIRISK : Gilles Brocard, chargé de mission risques à Lyon Métropole et Annie Ragot du Service Interministériel de Défense et de Protection Civile de la préfecture du Rhône.

Une séance de travail parmi d'autres dans le cadre du projet RESIRISK : Gilles Brocard, chargé de mission du Grand Lyon et Annie Ragot du Service Interministériel de Défense et de Protection Civile de la préfecture du Rhône. Site pilote Neuville-Genay.


26/11/15

On parle de RESIRISK dans Environnement Magazine !

Cliquez ICI pour lire le tout dernier article d’Environnement Magazine rédigée à l’occasion de la sortie de l’ordonnance du 22 octobre 2015 relative aux Plans de Prévention des risques Technologiques ! 

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26/11/15

La protection des salariés par OSIRIS, un exemple à suivre pour les entreprises voisines ?

Dans le cadre de la démarche RESIRISK, la commune de Salaise-sur-Sanne a souhaité travailler sur le transfert de savoir-faire des entreprises Seveso seuil haut aux entreprises riveraines en matière de mesure de protection des salariés. 

En effet, la plateforme de Roussillon-Salaise, est organisée en groupement d’intérêt économique (OSIRIS). Ce dernier met à disposition des entreprises Seveso de la plateforme des moyens d’information et de formation des salariés des différentes entreprises membres de la plateforme. 

Daniel Bombasaro, responsable hygiène et sécurité du GIE OSIRIS est venu présenter, dans le cadre d’un séminaire de travail RESIRISK, les moyens de protection des salariés. L’objectif est de voir si ces moyens sont transposables pour la protection des entreprises riveraines. Les entreprises présentes (représentant du groupe Casino et de Citroën) ont pris connaissance des outils et seraient près à les adapter. 

Parmi ces mesures, on trouve : 

  • des systèmes d’alerte
  • la transmission de consignes de sécurité 
  • la formation aux réflexes en cas d’alerte
  • des exercices d’alerte gaz avec débriefing et actions correctives. 

Pour finir, un temps a été consacré à la visite de la plateforme par un petit groupe d’entreprises en la présence de Karine Forest et Mathieu Romeiringer, représentants respectivement le Conseil Régional Rhône-Alpes et l’INERIS, partenaires de la démarche RESIRISK. 

Resirisk visite plate forme


En passant par Bâle…

Troisième rendez-vous international dans le cadre de RESIRISK. Une délégation d’une trentaine d’élus et techniciens s’est rendue à Bâle le 16 octobre dernier. Un territoire en pleine mutation où l’industrie chimique et les transports de matières dangereuses sont historiquement très présents. 

Plus qu’un projet transfrontalier, l’eurodistrict tri-national de Bâle (qui regroupe des collectivités suisses, allemandes et françaises) constitue un laboratoire unique à l’échelle de l’Europe en matière de gouvernance urbaine ; en témoigne, notamment, la création de l’IBA 2020 (International Bauausstellung). Cette approche singulière de la construction d’une grande métropole se traduit par le lancement de grandes opérations d’urbanisme, à l’image du projet Dreiland actuellement en cours de réalisation sur les tènements du port industriel.

Cette gouvernance transfrontalière est fortement emprunte d’une culture de la négociation. Ces médiations politiques et citoyennes, qui peuvent prendre des formes et des échelles variées, constituent l’ADN de la mise en œuvre des politiques publiques. La problématique des risques technologiques, très présente à l’échelle du territoire du fait des implantations historiques des grands groupes pharmaco-chimiques (BASF, Huntsman, Novartis, Roche, etc), n’échappe pas à cette tradition du consensus.

Deux illustrations de cette prise en compte « négociée » des risques technologiques :

> Le développement d’une voie mode doux dans un secteur de forts aléas :

La volonté des élus, français (Villes d’Huningue et Saint-Louis) et suisses (Basel), de développer des modes doux le long du Rhin (à la suite de la création dans les années 2000 de la passerelle des 3 pays) s’est heurtée, dans un premier temps, à une fin de non recevoir de la part des services de la DREAL. En effet, les périmètres de risque du site BASF d’Huningue, en partie classés en zone R, ne permettaient pas la création d’accès grand public aux berges. Des négociations tripartites ont été engagées entre l’industriel à l’origine du risque (qui a consenti des efforts supplémentaires de réduction du risque à la source et en périphérie via la construction d’un muret anti-déflagration), les collectivités et la préfecture du Haut-Rhin. Ces dernières ont permis d’aboutir et le projet est actuellement en cours de finalisation.

Voiemodedoux
Photo : Julien Lahaye. DR.

 

> L’activation anticipée des friches industrielles dans l’attente de leur développement

Dans le cadre du projet de reconversion des anciens sites portuaires et de la gare de triage ferroviaire (projet DREILAND), l’IBA BASEL 2020 a lancé plusieurs appels à projets afin de recenser les projets de développement susceptibles d’être portés par les acteurs locaux du territoire transfrontalier.

Photo port de Bâle

 

Parmi les projets déjà lancés, la préfiguration des usages futurs des espaces situés en bordure de la frontière allemande, côté suisse (berges Uferstrasse), témoigne d’une forte volonté des collectivités d’anticiper les reconversions industrielles en proposant aux citoyens de s’approprier des espaces délaissés et encore fortement contraints par des périmètres de risques technologiques.

Photo reconversion site

Photo : Julien Lahaye. DR

Ces aménagements éphémères sont riches d’enseignement. Ils sont non seulement révélateurs du pragmatisme du projet transfrontalier dans sa volonté de mettre en œuvre des actions visibles à court terme mais aussi d’un aménagement négocié avec les autorités.  

Par Julien Lahaye, mission Vallée de la chimie. Lyon Métropole. 


29/09/15

« La démarche est bonne… mais ne résoudra pas tout ! »

C’est ainsi que le gérant de l’hypermarché Casino de Salaise-sur-Sanne a résumé la situation ce matin en séminaire de travail. En effet, une dizaine d’entreprises étaient réunies pour aborder plusieurs sujets autour de la question du développement économique des entreprises situées en zone bleu du PPRT. 

A Salaise, les entreprises situées dans les zones d’activités de Champ Rolland, Renivet et Jonchain Nord souhaitent regagner en visibilité. Un inventaire précis des établissements recevant du public est nécessaire, de même que des documents d’information pour les porteurs de nouveaux projets qui doivent s’installer en connaissance de cause dans un secteur exposé aux risques toxiques et de surpression. 

Le groupe de travail a donc contribué à identifier le contenu des documents à fournir aux porteurs de projets nouveaux ou aux entreprises existantes qui souhaiteraient s’agrandir. 

Mais des « points durs » demeurent et méritent de faire un retour aux services de l’Etat, notamment en ce qui concerne la question du calcul théorique de la fréquentation des commerces. Un décalage existe entre les chiffres pris en compte pour limiter l’augmentation des enjeux et la réalité. Ce point sera évoqué en comité de pilotage RESIRISK. 

Le travail dans RESIRISK consiste aussi à amener les entreprises à cheminer sur les modalités de développer l’économie locale sans forcément augmenter le nombre de personnes sur les zones d’activités concernées. Cela suppose aux entrepreneurs de se projeter sur le type d’activités pertinentes à accueillir dans les zones exposées à des risques industriels élevés en s’appuyant éventuellement sur d’autres expériences d’autres territoires. 

Pour finir, le groupe a travaillé sur l’importance de la représentativité des entreprises dans différentes instances où sont évoquées les questions de prévention des risques industriels (Commission de Suivi de Site, Secrétariat pour la Prévention des Pollutions et des Risques, participation aux campagnes d’information sur les risques industriels…). Le travail d’animation a permis de clarifier les besoins, objectifs et modalités de regroupement d’entreprises qui ont à coeur de se faire entendre ! 

 

Séminaire 2 th 1 29 septembre
Justine Menguy, chargée de mission sécurité et prévention à Salaise-sur-Sanne et Sandra Decelle-Lamothe, coordinatrice de RESIRISK.

23/09/15

Saint-Genis-Laval / Chaponost : 4 ateliers pour des outils au service des entreprises et des collectivités

De mars à septembre, nous nous sommes appuyés sur l’expérience de 5 entreprises volontaires de la zone d’activités située autour d’ADG pour identifier leurs besoins en termes d’accompagnement et d’informations pratiques pour prendre en compte les risques industriels.

Ainsi, nous avons rencontré, durant les mois d’été, RANDY, PROFORM, SYMATESE, Optique Participations et SAMSE afin de dresser un état des lieux de leurs capacités actuelles sur le sujet. Ces entreprises sont situées dans les zones « bleu foncé » et « bleu clair » du PPRT approuvé le 12 décembre 2014.

20150921_134502 SOCOTEC et le CEREMA au côté de PROFORM et RANDY.

Une journée de restitution et de travail, organisée le 21 septembre, a réuni une quarantaine de personnes aux compétences et fonctions complémentaires pour traiter autant du besoin d’information sur les scénarios d’accidents potentiels du site Seveso seuil haut ADG que des modalités de gestion de crise et de l’application des consignes de sécurité à transmettre aux salariés.

Ainsi, services de l’Etat (DIRECCTE, DDT), collectivités territoriales, entreprises concernées, entreprise à l’origine du risque (ADG), experts (CEREMA, SOCOTEC, Ingeco) se sont répartis en ateliers sur quatre sujets complémentaires : 1. L’information des entreprises sur les risques industriels et le PPRT / 2. L’information des salariés au sein des entreprises / 3. La mise en œuvre de mesures organisationnelles et de travaux de protection des salariés / 4. Les modalités pratiques et financières pour la réalisation d’études préalables à la réalisation de travaux de protection.

20150921_134524 CCVG, Fédération d’entreprises SOLEN, le SPIRAL, Grand Lyon Métropole, AMARIS, Chaponost, la CCI, représentés pour travailler sur l’information à transmettre aux entreprises de la zone d’activités.

Nous avons pu identifier l’un des sujets le plus complexe à traiter : quels sont les critères qui permettront au chef d’entreprise de s’orienter vers des travaux ou des mesures organisationnelles ? Les travaux devront-ils concerner l’ensemble du bâtiment ou seulement le lieu de mise à l’abri des salariés ? Il a en outre été rappelé par la DIRECCTE que le chef d’entreprise a une obligation de résultat en matière d’information et de protection des salariés au titre du code du travail.

Le travail se poursuivra collectivement pour clarifier ces derniers points et mettre en place une stratégie de prise en compte du risque industriel dans la zone d’activités.

Sandra Decelle-Lamothe & Sophie Maitre (prévention des risques majeurs et professionnels).


10/06/15

Floride, e Thekwini (Afrique du sud), Dar es Salaam (Tanzanie), Curituba (Brésil) : les villes apprennent mieux les unes des autres !

Quatre expériences différentes mais une préoccupation identique : motiver les élus et les services des collectivités à s’engager dans une démarche de résilience.

Aux Etats-Unis, en Floride, la question dépasse les clivages politiques. Le service s’est organisé pour former ses agents et valoriser les démarches des acteurs en faveur de la réduction de la vulnérabilité. Le site a aussi pour but d’encourager les acteurs de terrain à mener de telles actions. L’interactivité de la démarche « Green Your Routine » est inspirante pour amener les acteurs de terrains, comme les entreprises, à rendre compte de leurs actions, de leurs investissements, vis à vis de leurs prospects ou clients.

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De gauche à droite :
Jessica Baier, Senior Project Manager, Engagement Global, Bonn, Germany.
Josephine Lee, Program Manager, USAID CityLinks Program, international City/County.
Susanne Torriente, Assistant City Manager, City of Fort Lauderdale, Florida, USA.
Noloyiso Nkqeto, Environnement Manager, Ugu Municipality, South Africa.
Sean o’Donoghue, eThekwini, South Africa.
Habraham Shamumoyo, Secretary General, Association of Local Authority Tanzanie (ALAT).


10/06/15

En direct du congrès international « Resilient Cities »

L’ICLEI est un réseau de près de 1000 villes et métropoles dans le monde qui s’engagent dans la réduction de la vulnérabilité.
Durant trois jours, des centaines d’initiatives sont présentées à près de 500 participants en provenance de 40 pays.

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Participer à ce type de congrès permet de :
– se rendre compte que la démarche RESIRISK s’inscrit dans un mouvement global d’actions pour mettre aux villes d’être résilientes,
– que l’intervention sur les zones d’activités en particulier est assez rare et que les actions sont encore souvent menées auprès des « populations » de manière générale, ou sur le bâti. En ce sens, l’action RESIRISK est pionnière.

En matière d’intervention sur les zones d’activités économiques, une action néo-zélandaise mérite d’être soulignée. Depuis dix ans,« Resilient Organisations » travaille avec le milieu économique, les pouvoirs publics pour renforcer la résilience. Cette organisation a notamment effectué des recherches et des actions sur la résilience des salariés (cf. »Employee Resilience).

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23/05/15

Panorama des sujets au travail !

Depuis un an, l’équipe RESIRISK est au travail sur le sujet des PPRT et des activités économiques.
Mais derrière ce titre, quelles sont les thématiques concrètes traitées dans les groupes de travail ?
En voici une vue d’ensemble :

Amener les urbanistes territoriaux et les bureaux d’études à prendre en compte les risques industriels en amont dans les projets

C’est l’action menée sur Neuville/Genay (zone d’activités de 17 ha), sur le secteur des Guerlandes (44ha) à Bassens ou à Salaise-sur-Sanne avec l’aménagement des dents creuses.
Dans ce cadre, l’action de RESIRISK arrive parfois en plus de l’intervention de bureaux d’études qui ne sont pas experts dans le domaine de la prévention des risques majeurs.
La démarche permet alors d’instaurer un dialogue et de faire prendre conscience des enjeux. En outre, le but de RESIRISK est d’aller plus loin que la maîtrise de l’urbanisation en donnant des préconisations en matière d’information préventive et de gestion de crise. Dans ce cadre, les acteurs du SDIS et de la préfecture sont « mis dans la boucle » pour être à l’écoute de leurs contraintes pratiques. Enfin, la recherche de solutions innovantes, répondant aux enjeux de sécurité, tient une place importante à ce stade.

Mettre en place des mesures organisationnelles et sur le bâti

Ce sujet est au travail sur Saint-Genis Laval-Chaponost (69), sur Bassens et Salaise-Sanne.
Au total, le projet RESIRISK devrait permettre à près de 3000 salariés et entrepreneurs de prendre connaissance des consignes de sécurité (entreprise Lafon Technologies : 110 personnes, 2000 salariés sur la zone d’activité du Rhône, plusieurs dizaines d’entreprises et d’entrepreneurs sur Salaise-sur-Sanne). L’objectif est également de permettre aux entreprises concernées de savoir comment intégrer les consignes de sécurité, propres aux risques industriels, dans leur politique de sécurité (document unique, livret d’accueil, etc.).
Ce travail permet enfin aux entreprises Seveso seuil haut d’intégrer les entreprises voisines dans la chaîne d’alerte au travers de leur Plan d’Opération Interne (ce qui n’était pas forcément fait avant les PPRT !). Enfin, un travail sur le bâti est effectué pour identifier, au regard des risques en présence, les meilleurs moyens de se protéger au sein de l’entreprise avec la création d’espaces de mise à l’abri, d’organisation de l’espace, de travaux de réduction de la vulnérabilité (méthode pour hiérarchiser des travaux à effectuer).

 

Valoriser les initiatives des entreprises

Certaines entreprises ont déjà investi dans leur sécurité ! Plusieurs d’entre elles ont déjà mis en place des espaces de confinement ou sont en train de le faire. Leurs actions méritent d’être rendues visibles pour encourager d’autres à s’engager dans cette démarche. La logique est un peu la démonstration par l’exemple. Par le retour d’expérience, l’idée est d’identifier les freins et les leviers pour la réalisation d’actions concrètes (processus d’identification des risques, devis, intégration des mesures dans l’entreprise, dépôt de permis ou autorisation de travaux, contrôle, etc.). Ce sujet est au travail sur Bassens et dans le Rhône.


Faciliter l’accueil d’activité en zones de risque


Biensûr, l’idée n’est pas d’augmenter les enjeux ! Le PPRT fixe le cadre. Mais pour accueillir des activités, de nombreuses questions se posent : comment faire en sorte que les zones d’activités exposées ne soient pas moins attractives que d’autres ? Comment valoriser leurs spécificité ? Cette question est au travail sur Salaise et dans le Rhône. Des expériences sont recherchés dans d’autres pays européens. Le déplacement à Rotterdam a permis de connaître des démarches de marketing territorial spécifique aux zones de risque. L’appel des 30, dans la Vallée de la chimie au sud de Lyon est aussi un bel exemple dans ce domaine.

 

Favoriser le transfert de savoir-faire entre entreprises génératrices de risques et les entreprises exposées

 

Se rencontrer entre voisins et échanger sur les bonnes pratiques de la sécurité, tel est le leitmotiv de cette thématique au travail. La mixité « ville-industrie » est possible si un cadre d’échange est posé pour les acteurs concernés. Le projet RESIRISK offre cet espace en permettant aux entreprises Seveso et aux entreprises riveraines de mieux connaître leurs fonctionnements réciproques mais aussi les scénarios d’accidents, les consignes de sécurité, le système d’alerte, etc.
Ce sujet est au travail sur Ambès (33), Bassens(33), Salaise-sur-Sanne (avec le GIE OSIRIS), et dans le Rhône.

 

Permettre aux commerces de changer de destination

 

Un sujet complexe qui sera traité pendant l’été. Il s’agit de rentrer dans les cas concrets et d’identifier les modalités d’application des règlements de PPRT.

 

Savoir gérer le foncier économique exposé aux risques industriels

Que faire des terrains expropriés ou délaissé ? Comment éviter la déprise foncière de terrains exposés ?
Ces questions sont notamment abordées sur le site de Bassens et du Nord Pas de Calais (avec l’expérience de l’Etablissement Public Foncier du Nord Pas de Calais).

Un essai sur la résilience pour approfondir

L’ensemble de ces initiatives contribue à la réduction de la vulnérabilité des zones d’activités. En étant dans une posture constructive et non fataliste, les acteurs démontrent leur capacité à rebondir après plusieurs années d’une procédure PPRT longue et parfois décourageante pour les entreprises et les collectivités. Dans un essai sur la résilience, une quinzaine d’acteurs (élus, services de l’Etat, architectes, experts risques, etc.) auront la parole pour rendre compte de leur cheminement et des actions qu’ils ont mis en œuvre.